Les gelées printanières survenant lors de la floraison, mais surtout lors de la nouaison des arbres fruitiers, peuvent avoir des conséquences dramatiques sur les résultats économiques des exploitations. L'utilisation des enceintes climatiques du centre CTIFL de Balandran, en s'affranchissant du côté aléatoire des expérimentations en verger, ont permis de mesurer l'impact de la durée du gel, l'incidence de la présence d'eau, de balayer l'ensemble des seuils critiques du pommier et de faire une classification de la sensibilité au gel des principales variétés. Concernant les seuils critiques du pommier, ces données deviennent la nouvelle référence et remplacent celles publiées par Osaer et al.
Publié le 23/06/2017