Punaises phytophages des cultures légumières : méthodes de protection alternatives
05/03/2022
28 p.
Le projet IMPULsE (2017-2020) a permis d’évaluer plusieurs méthodes de gestion des punaises phytophages sur cultures de tomate, aubergine et chou. Ce projet s’est appuyé sur un large consortium regroupant des Instituts techniques (CTIFL), des stations d’expérimentations (APREL, GRAB, INVENIO), des chambres d’agriculture (CA13 et CA47), des lycées agricoles, la recherche publique (INRAE) et une société privée productrice d’auxiliaires (Koppert).
Un travail important de caractérisation des espèces de punaises présentes a été conduit afin de mieux connaître et d’être en mesure d’identifier correctement ces ravageurs très problématiques en culture. En parallèle, une étude visant à caractériser la diversité naturelle des parasitoïdes de punaises a été réalisée, permettant ainsi d’identifier les ennemis naturels et de potentiels agents de lutte biologique.
À ce stade, les méthodes de gestion basées sur la protection physique (filets, pièges chromatiques englués) et la lutte biologique (parasitoïdes, nématodes entomopathogènes) donnent les résultats les plus intéressants en culture de tomate et d’aubergine sous abris. L’utilisation de plantes pièges montre un réel intérêt en culture pour la gestion des punaises du chou en plein champ. À l’issue du projet, différents leviers de gestion ont été identifiés, cependant les stratégies globales restent à affiner.
Cette note de synthèse s’adresse en premier lieu aux producteurs, conseillers techniques et expérimentateurs.
Un travail important de caractérisation des espèces de punaises présentes a été conduit afin de mieux connaître et d’être en mesure d’identifier correctement ces ravageurs très problématiques en culture. En parallèle, une étude visant à caractériser la diversité naturelle des parasitoïdes de punaises a été réalisée, permettant ainsi d’identifier les ennemis naturels et de potentiels agents de lutte biologique.
À ce stade, les méthodes de gestion basées sur la protection physique (filets, pièges chromatiques englués) et la lutte biologique (parasitoïdes, nématodes entomopathogènes) donnent les résultats les plus intéressants en culture de tomate et d’aubergine sous abris. L’utilisation de plantes pièges montre un réel intérêt en culture pour la gestion des punaises du chou en plein champ. À l’issue du projet, différents leviers de gestion ont été identifiés, cependant les stratégies globales restent à affiner.
Cette note de synthèse s’adresse en premier lieu aux producteurs, conseillers techniques et expérimentateurs.