INFOS CTIFL : Découvrez le double numéro de Mars-Avril 2024 !

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Retrouvez dès à présent la version web des articles du numéro double de mars-avril 2024 d’INFOS CTIFL !

Publié le 09/04/2024 - 13:10

Ces mois-ci, ce ne sont pas moins de dix articles en qualité, technique et économie, deux synthèses sur des évènements organisés par le CTIFL et la présentation du métier d’ingénieur-formateur que vous retrouverez dans la version papier et la version en ligne de notre revue technique. Bonne lecture ! 

 

Focus sur le métier choisi pour ce numéro : l’ingénieur formateur, un expert des fruits et des légumes toujours en veille 

“Notre métier est comme les produits frais, vivant et toujours en métamorphose” 

  • Question : Le CTIFL est connu pour ses activités de recherches scientifiques mais moins pour ses activités de formation. Quelles sont-elles ?  

“Être formateur au CTIFL, c’est agir pour le développement des compétences et de l’expertise de tous les stades de la filière dans un contexte en constante évolution, toujours plus compétitif et exigeant. En effet, en tant que formateur spécialiste des fruits et légumes, nous accompagnons les acteurs de l’amont à l’aval dans toute une série de domaines : les connaissances des produits, les démarches qualité, le merchandising en point de vente, les techniques commerciales ou l’organisation du travail. Nous sommes rattachés à la Direction Valorisation et Transfert et sommes présents sur l’ensemble du territoire. Des formations existent aussi sur le matériel végétal et les pratiques culturales et sont réalisées par d’autres spécialistes de CTIFL. Tout nouvel acteur de la filière, qu’il vienne de s’installer, de créer son entreprise ou de rejoindre un groupe déjà établi, a souvent besoin d’un accompagnement. Cet accompagnement se fait par des formations ou de l’assistance technique, que nous, ingénieur-formateur, effectuons.” 

Découvrez l'interview complète dans le numéro ! 

 

Les données clés à retenir de notre article “Raisin de table, faire évoluer l’entretien du sol sans impacter la rentabilité” :

Le projet RITAPE évalue diverses stratégies d’entretien du sol, avec sur l’interrang, des couverts spontanés ou semés qui sont broyés ou couchés et sur le cavaillon, un entretien mécanique ou une toile de paillage. Après la première année, il y a peu de différences pour les paramètres agronomiques, malgré une légère tendance en faveur des couverts semés pour l’amélioration du rendement. Ces couverts confirment leur intérêt par les restitutions en matière organique et en éléments minéraux bien supérieures à la référence. Broyer ou coucher le couvert n’entraîne aucune différence et dépend de la faisabilité technique et des objectifs recherchés, à savoir prioriser la restitution au sol ou favoriser un effet mulch contre les adventices. Économiquement, l’enherbement total et le paillage sur le rang se démarquent par des coûts plus élevés.