État des lieux de la résistance variétale face aux différents bioagresseurs - Bilan des essais 2021 à 2023
07/12/2023
12 p.
Journée Nationale Melon 2023, le jeudi 7 décembre 2023 sur le centre CTIFL de Balandran.
Lors du processus d’inscription des variétés de melon, seules les résistances aux différentes races d’oïdium, de fusariose et la résistance à la colonisation par le puceron Aphis gossypii sont évaluées, puis enregistrées. Cependant, les données transmises par les sociétés semencières s’avèrent être partielles (données binaires : résistance ou non à certains bioagresseurs, pas d’information vis-à-vis d’autres bioagresseurs). En outre, les sensibilités des variétés aux problématiques majeures pour la culture du melon, comme le mildiou, la cladosporiose ou la bactériose, ne sont pas évaluées par le GEVES, car aucune résistance génétique avérée n’a pu être mise en évidence pour ces bioagresseurs. Pourtant, de fortes différences de sensibilité variétale ont pu être observées sur le terrain. Celles-ci ont été référencées dans le projet FAM MELVARESI (2019-2021) et dans des projets régionaux (2022-2023). Cette conférence fera le bilan sur 3 ans (2021-2023) des résultats obtenus par les stations d’expérimentation régionale sur les sensibilités variétales aux principaux bioagresseurs, que sont la fusariose, la bactériose la cladosporiose, le mildiou et l’oïdium.
Lors du processus d’inscription des variétés de melon, seules les résistances aux différentes races d’oïdium, de fusariose et la résistance à la colonisation par le puceron Aphis gossypii sont évaluées, puis enregistrées. Cependant, les données transmises par les sociétés semencières s’avèrent être partielles (données binaires : résistance ou non à certains bioagresseurs, pas d’information vis-à-vis d’autres bioagresseurs). En outre, les sensibilités des variétés aux problématiques majeures pour la culture du melon, comme le mildiou, la cladosporiose ou la bactériose, ne sont pas évaluées par le GEVES, car aucune résistance génétique avérée n’a pu être mise en évidence pour ces bioagresseurs. Pourtant, de fortes différences de sensibilité variétale ont pu être observées sur le terrain. Celles-ci ont été référencées dans le projet FAM MELVARESI (2019-2021) et dans des projets régionaux (2022-2023). Cette conférence fera le bilan sur 3 ans (2021-2023) des résultats obtenus par les stations d’expérimentation régionale sur les sensibilités variétales aux principaux bioagresseurs, que sont la fusariose, la bactériose la cladosporiose, le mildiou et l’oïdium.